mardi 27 octobre 2009

Les préliminaires



Les préliminaires -
 
La fonction présidentielle - que je qualifierai de 'terrifiante' - n'est vraiment pas un havre de paix et de bonheur d'un long fleuve tranquille mais plutôt un enfermement sacerdotal a 'entrer dans les ordres'. Car, quel qu'il soit, lorsqu'aux premiers jours entrant dans sa nouvelle demeure d'élu, il s'aperçoit bien vite... qu'il n'est pas seul (!) et que même sont ici ceux-là qui étaient en place durant le mandat de son prédécesseur. Et que le "Faire ce que l'on veut au Palais présidentiel", c'est pas le genre de la maison ! Donc; faut faire avec. Faire avec ceux-là-même qui travaillent dans l'ombre du Chef d'Etat. Donc aussi apprendre et s'en tenir à ceux qui tirent les ficelles. Devoir respecter ceux qui l'on 'élu' après l'avoir choisi dans la longue liste des présidentiables.

L'appareil est en place. Le robot peut désormais rencontrer d'autres robots venus de pays lointains et signer avec eux des accords 'suivant les directives'. Mécanisme bien huilé où, malgré ce 'savoir tout', un cerveau restera toujours un cerveau. Et tout ce qui a pu être monté est un jour démontable. La défaillance n'épargne personne. La somme des gestes calculés n'est qu'un ballet d'habitudes et où toute personne extérieure est capable de comprendre (!).

Ainsi, s'il en est de croisements incessants dans les couloirs du Palais, il en est de 'même' (multipliez çà par 1 milliard) entre internautes du bout du monde qui s'activent a se forger une idée raisonnable en dehors de tous médias gouvernementaux.

Et, il en ressort dans cette immense toile d'araignées où chaque chef dans son coin se fait astiquer les pompes dix fois par jour, passe à la télé, fait les titres dans les journaux et a SA marionnette officielle au Muppets Show, ("La publicité c'est: en bien ou en mal pourvu qu'on en parle" Jacques Séguéla), qu'il n'est pas plus intelligent assis dans un fauteuil Louis XVI derrière un bureau que sur un tabouret de fermière en train de traire ses vaches. Et que le marché des anti-dépresseurs est bien celui qui marche encore, et tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se casse et que qui veut voyager loin ménage sa monture et que les chiens ne font pas des chats et que même si un homme prévenu en vaut deux ça fait quand même pas beaucoup face au peuple qui s'accroît. Et, quand on est incapable (dépassé par les évènements) de gérer une simple épicerie de quartier on ne s'attaque pas à vouloir conduire un supermarché grand comme le monde.

Devant cette pagaille (le désordre çà se voit !) la solution proche du zéro neurone est bien sûr d'éffacer le tableau (!). Mais la guerre fait bordel, la famine fait pîteux, reste l'épidémie. L'épidémie avec the vaccin-qui-tue. Mais, quand ce dernier est rendu... obligatoire et que circule sur le net des vidéos de camps de concentration (800, rien qu'aux Etats-Unis) prêt-à-l'emploi (livrés clé-en-main avec chambres à gaz et four crématoire) comme des aveux tardifs de ceux qui craquent et qui on été impliqués sans le '9-11', les banques qui font 'faillite', les vaccins empoisonnés, les guerres injustifiées et tant d'autres misères dont ils en sont les proches instigateurs, cela met les futurs 'Maîtres-du-Monde' dans l'écarteur de mauvaises graines.

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Qui ont fait des dettes ? Les Russes ? Les Américains ? Les Chinois ? Les Français ? etc, etc. Rien de tout çà. Seulement les dirigeants. Une poignée d'hommes "d'affaire" comme il en est des guerres où le peuple d'à-côté nous apparaît soudainement comme ennemi. "Peuple dangereux dirigé par un dictateur" alors qu'il n'en est rien et qu'il s'agit d'un Chef d'Etat qui refuse la dictature des autres.
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La fin du monde c'était hier; que ceux qui l'ont raté se rassure... y en aura d'autres !
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