mardi 23 février 2010

Sans fleur, ni couronne


Désigner Christophe Colomb comme le découvreur du continent Américain est un peu fort de la cuillère vu qu'il n'a pas effectué la traversée de l'océan atlantique tout seul, à la rame, avec toute sa flottille de neurones de grand nouvelliste.
Il a découvert l'Amérique comme moi. Lui, comme moi n'étant pas le ou les premiers puisque cette terre était déjà habitée. Alors, "l'homme qui a vu l'homme qui a vu l'homme": Pfftt ! (et encore là, je ne parle pas de l'homme qui le premier a vu la lune, le soleil ou les étoiles !).
Ce n'est faire que peu de cas de celui qui (le premier ?) serait parti d'Europe (ou d'Afrique ou d'Asie) et qui aurait traversé le détroit de Béring entre l'URSS et l'Alaska. Rien ne dit là non plus que cette terre n'était pas déjà habitée d'une civilisation avancée ou interrompue pour raison climatique ou autre.
Alors, que certains veuillent porter cette excroissance cervicale aux frontons de l'aventure est tout-à-fait leur idée, car, car cela ferait bien mal à certaines personnes que les prémices de l'humanité aient vu le jour en Amérique et que l'un d'eux ait traversé le détroit de Béring puis établi une société à ce nouveau continent de l'Est ! Et paf ! Les navires en perdition ne datent pas d'aujourd'hui, ni de hier mais d'un peu plus loin que les courants ne les séparent.
Alors, arrêtons de tergiverser sur l'enclume et le marteau et préparons plutôt un acte de citoyenneté - relevant des conflits - qui font foules et réfléchissons/agissons pour que le monde soit pour tous une terre de complément auquel chacun participe. Marre des petits rois, des petits chefs qui se nomment empereur, élite ou président sans qu'ils n'aient (et qui n'auront jamais) l'attribut de diriger un autre que soi.
Toutes conquêtes territoriales ne se sont faites (avec ou sans mandat de perquisition) que sous la contrainte des armes et du nombre a en détenir. Ainsi, de nos jours encore, l'on se doit de qualifier un homme de héros parce qu'il a saisit à l'encontre des propriétaires résidants des portions de terres avec en objectif de rendre mort tout individu qui est son égal.
L'homme a de tout temps préféré faire parler la poudre que sa parole sorti de son cerveau de malade, comme il en est encore le cas de nos jours avec la mise en perspective d'un "gouvernement mondial" assit par la dictature d'une poignée de crapules. Ils s'y croient déjà ! Épiloguant à toutes vannes d'élucubrations étatiques où tous les restants (épargnés des chemtrails et autres grippes larvées) y seraient les esclaves, 'leurs esclaves'. Menaces de réduction comme les tours du WTC disparues, parties en fumées aux composants invisibles.
Ils reconnaissent êtres incapables de diriger ce 'trop de monde' où chacun veut asseoir sa liberté première, ils sont dépassés par ce foisonnement de sociétaires et autres aides de camps. Être "Vizir à la place du grand Vizir". Don de spermes à des colonies de fourmis ! Ou, pourquoi pas, à des arbres qui porteront leur nom ! Ou plutôt, à des pierres tombales où ne poussent pas de fleur.

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