mardi 27 juillet 2010

Paupérisation officielle

Humour ?

D'où que l'on se tourne, les pauvres font partie du paysage. Un clochard, deux clochards, trois, dix, cent, il y en a de partout. Ceux qui se croyaient riche ont aujourd'hui tout perdu et, même l'espoir de le redevenir !
Donc, le pauvre, est tourné vers une dépendance de l'Etat. Asservissement de répondre aux critères d'obtention d'une infime partie de retour d'argent. Parce qu'il ne faut pas se leurrer: l'argent des allocations, ne vient pas de la poche des ministres ou du Président, voire des députés et sénateurs qui sont censés représenter le peuple. Inféodage aux visites médicales et de toute la mise en fichier que cela comporte (prise de sang et d'urine pour évaluer l'albumine et les germes portés), poids et mesures et questions diverses dignes des RFID !
La ruine bat la campagne. Elle se répand et touche tout citoyen même travaillant honnêtement. Cette élimination graduelle tend à faire revoir les objectifs 'nouveaux monde' auquel chaque jeune aspire. Il ne suffit plus aujourd'hui d'avoir des diplômes, encore faut-il avoir du piston. Piston = fonction publique et notation du répondant.
Plus il y a de riches, plus il y a donc aujourd'hui de pauvres. Et, plus les pauvres sont pauvres, plus les riches peuvent être riches. Ainsi vont les chemins verticaux et transversaux qui barrent au passage tout espoir de changer de camp. Parce qu'il est plus facile de diriger des pauvres que des riches. Tout est fait/conçu et interprété pour appauvrir la population. "Non monsieur l'agent de police, je ne regarde pas l'indicateur de vitesse pour vous faire plaisir, je regarde la route pour sauver des vies !" Ainsi, les radaristes enfermés dans leur bureau (troisième tiroir gauche) n'admettent aucune marge d'erreur de dépassement de la vitesse autorisée même à 1 ou 2 km/h en plus. Ils doivent tout faire pour faire rentrer de l'argent (d'où parfois leur complicité dans des braquages ! Hahaha !) même s'ils peuvent reconnaître ces défauts un peu trop fréquents.
Qui représente le mieux la vie ?: le peuple. Qui représente le mieux la mort ?: l'Etat. Ainsi, entrer dans la chambre du fonctionnariat est-il comparable à mettre un pied dans la tombe quand c'est pas les deux ! Suffit de voir les actions accomplies depuis son élection du "Prix Nobel de la paix" (!!!).
Hier encore, si le mensonge était condamnable, c'est aujourd'hui la vérité qui est sur la selette. Le terme pour remplacer tout çà est: l'"Officiel". Distraction inattendue où seule l'information "officielle" aurait droit de lecture et d'application. C'est vrai que la mise sur écoute téléphonique et suivi des personnes rfidées est une volonté des dirigeants, mais, quand il s'agit d'appliquer cette même bonne idée sur eux... (et révéler au peuple), les démarches se trouvent tout-à-coup interrompues/censurées voire condamnées pour avoir de leur nature été divulguées. Que la naissance d'un être humain soit officialisée (par une déclaration en mairie), que des diplômes soient officialisés (aux sorties d'écoles publiques ou privées/officialisées publiques) ou que la mort de quelqu'un soit officialisée (par le médecin légiste/études balistiques des 40 balles concluant au suicide), passe encore, mais que les paroles que tout en chacun peut émettre soient remises en cause faute d'avoir été "officialisées" par Pokemon 1er: Hahaha !
Faudra t-il demain se couper la langue, boucher ses oreilles et se crever les yeux pour être le cobaye rêvé du micro-groupuscule de dirigeants ? (bouchon 'trou-de-cul' en option). Tout est là pour obliger chacun à perdre ses libertés si chèrement acquises au profit d'informations non officialisées par le peuple. Quand un riche meurt, toute la presse gouvernementale en parle. Quand un pauvre s'en va... ça fait un de moins !

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