dimanche 11 juillet 2010

Seuls les requins vous le diront


Dans les opérations de triage de déchets ménagers vers les poubelles, figurent des containers pour le verre. Or, nombreuses sont les personnes qui ayant en mains un lustre cassé ou une vitre ne peuvent l'introduire dans le petit trou minuscule calibré pour les bouteilles ! Cette idée de con, fait que les gens déposent donc au sol ou sur le couvercle leur verre au rébut. Mais, ne vous êtes vous jamais demandé pourquoi n'existe t-il pas des poubelles communes pour le papier et le verre ?
Prenons un exemple: La poubelle est remplie de papiers, cartons et autres couches-culottes provenant pour beaucoup des administrations (factures). J'y fout le feu. Que se passe t-il ? Il se passe que les papiers & cartons brûlent, et que le verre ne brûle pas. Résultat final: La poubelle ne contient que du verre (généralement brisé sous l'effet de la chaleur et nettoyé de ses étiquettes collées).
Ainsi donc, devrait-il n'être présenté que 2 bacs. Poubelle pour les cartons, papiers et verre et, une poubelle pour le plastique. C'est tout. Les boites en fer pouvant êtres brûlées avec le verre et récupérées par tamis. Rien de bien difficile. Or, il se passe que des sommes astronomiques ont été engagées dans la fabrication de ces containers spéciaux et tout le tralala avec les deniers publics dont les municipalités comme l'Etat traitent à la louche vu qu'ils ne sortent pas de leurs poches.
Autre implication de la colère des usagers: la fréquence d'allumage des feux tricolores. En ville si la vitesse est limitée à 50 km/h, l'on arrive forcément au feu tricolore suivant... au rouge ! Ceci, afin de punir les automobilistes d'avoir respecté la vitesse en ville et de les mettre en rogne et en retard quant à la traversée de toute une agglomération. Ainsi, pour arriver au feu vert doit-on accélérer et les suites que l'on connaît.
Cette incidence sur la gestion du trafic rapporte d'un biais comme un autre de l'argent à la commune au détriment des commerçants qui ne voient donc l'argent rentrer plutôt dans leur caisse. Comme il en est à chaque été de la coupure des fontaines publiques où l'eau de source coule gratuitement (comme vent qui souffle ou soleil brille), ce qui se traduit par le mécontentement de la population locale comme des touristes qui - devant boire en des bars - n'ont donc plus l'argent pour les autres commerces. Sans parler des forêts de parcmètres qui sont de véritables machine à prix coups de barre implantées sur les trottoirs pour dissuader les clients de venir faire leurs courses en centre-ville au profit juteux des grandes surfaces aux sortie d'agglomérations (qui gèrent en quelques sortes les 'parcs & forêts' !) et de toutes les infrastructures de ronds-points, bretelles d'accès (ponts/tunnels/passerelles) pour y accéder et dont les travaux coûteux de mise-en-place ont été réalisés sur les deniers publics.
Pareil pour l'absence (oubli ?) de banc public bien pratiques pour les personnes âgées et femmes enceintes qui doivent parcourir sans s'asseoir les rues et avenues mal gérées.
L'angoisse d'aborder les labyrinthoïdes zones industrielles en France. Tout un dédale de voies avec absence de panneaux aériens indicateurs avec plan général pour se retrouver dans un magasin à prix coup de masse à l'achat d'une cartouche d'encre pour l'imprimante ! Jugez plutôt: "Office dépôt" (Avignon)39,89€ la cartouche ! (24,90 à "Auchan").
Payer pour vivre. Vivre pour payer. Qu'il est loin ce temps où l'argent n'existait pas et maudit soit celui qui l'a sorti de terre !
Il est d'une exagération commune d'appeler 'pollution' tout ce qui sort de terre. Ainsi, l'eau comme le pétrole sont définis en des bas mots vu que la terre c'est la crasse et qu'on est fait pour vivre aériennement tels des oiseaux de proie bouffant alors tout ce qui passe ! ("La guerre des étoiles" revue & corrigée !). Bientôt, se devra t-on vivre à dix pieds sous terre comme les taupes ou banquiers-pirates enfouissant là leurs trésors cachés à bouffer des pissenlits par la racine ! Va t-on redevenir poissons des grands fonds à naviguer en eaux troubles entre les perles rares et caviar bon marché ou tels les exocets a survoler pour un temps cet océan d'incompréhension ? Seuls les requins vous le diront.

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