dimanche 20 février 2011

Bip-Bip et les coyoticides


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Ce qui s'est passé durant les fêtes de fin d'année à travers le monde (et plus particulièrement aux USA), est que des milliers (millions ?) de poissons et d'oiseaux sont morts. C'est là un constat que l'arme scalaire est entré en action afin de prouver qu'elle pouvait se permettre de sélectionner telle ou telle race, variété de poissons et d'oiseaux sans que n'en soient touchés les autres juste à côté. Performance de l'ingéniosité. Mais, à la question du pourquoi de cette volonté de tuer, plusieurs réponses peuvent y parvenir: Essais rapprochés de soustraction de telle ou telle espèce (le constat étant effectué par des agents en civils pour témoigner de la réussite, plutôt qu'en pays lointains où cela aurait occasionné des frais budgétaires supplémentaires pour les contrôleurs). A cela, il y a très peu d'incidence quant à la baisse sur la consommation des ménages qui s'est reporté sur d'autres produits de commerce. Donc: disette zéro.
Par contre, il peut y avoir des mêmes similitudes de rayonnements scalaires en d'autres pays où ces constatations ne seront reportées que dans la presse locale s'il y a. Là, cette action peut être de nature réelle à affamer certaines populations qui font des gibiers et pêches en étangs ou rivières leur moyen de survie. Or, si l'on observe la présence de chemtrails, elle se déroule sur terre et répand des milliards de particules d'aluminium et sels de baryum (entr'autres) sur les plantes. Plantes consommées par les animaux et les humains qui en respirent aussi les nanoparticules tombées du ciel derrière les avions. Mais, en ce qui concerne les mers et océans, là, existe une problématique d'étendue: 71% de la surface du globe ! Et, comme il est très difficile voire impossible d'empoisonner les poissons avec des épandages aériens, reste la solution miracle d'utiliser la technologie scalaire à cette fin. A cela, cette action, même si elle n'est pas constatée de visu, peut être là une possibilité gigantesque de priver la population mondiale des ressources marines. De plus, les poissons morts étant immédiatement dévorés par d'autres prédateurs (épargnés du poissonicide !), nettoient le champs de bataille. Ni vu, ni connu. Baisse sensible voire vertigineuse des quotas de pêche qui serait bien sûr expliquée par le développement tout azimut et incontrôlé du nombre de bâtiments en mers et de la demande soudain bizarrement grandissante de vouloir manger du poisson en certains pays (comme il en est aujourd'hui avec la consommation exponentielle de pétrole en Asie).
Les poissons en mers se déplaçant en bancs (repérables par satellites), la facilité est donc toute trouvée. Par contre, la disparition d'ours ou de loups dans les montagnes ou d'autres carnassiers (notamment les coyotes au Nouveau-Mexique/Arizona) n'est pas prête d'être programmée, et l'on comprend pourquoi ! Donc, dans un proche avenir (que l'on espère très lointain), vous saurez en quoi vous devez vous déguiser pour éviter l'arme scalaire !

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