"L'argent n'a pas d'odeur ?"

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"Plus le prix de l'or est haut moins il en faut pour rembourser une dette" ceci, tout le monde l'a compris. Mais, même si il en faut moins, encore faut-il que le poids y soit ! Et donc, quand un pays manque d'or il se débrouille par tous les moyens d'attaquer un pays qui en a. Les couilles (cotées en Bourses) prennent donc de la valeur et, une fois fondues, hachées menues et recomposées elles sont estampillées au nom du pays voleur (et assassin) qui les a saisit.

Mais, avec le phénomène mis en place de la dépopulation, même s'il y en a donc peu... elles ne sont pas plus grosses pour autant ! (car on ne les fabrique pas avec de la poudre de Perlinpinpin). Donc, s'il y a moins de monde, il y a forcément moins de producteurs et de consommateurs et donc moins sujet à l'inflation. Ceci est bien sûr un regard simpliste sur l'aventure des monnaies, monnaies papiers ou 'sonnantes et trébuchantes' sujettes à l'inflation (voir 'Zimbabwé'), qui a bien vite été remplacé par le chèque (en bois, ou 'assignat' ou 'bon du trésor de Russie', ou à travailler pour le 'roi de Prusse', etc), par la carte bleue et les transactions faites par ordinateurs où il suffit de laisser le doigt appuyé sur la touche 'zéro' pour multiplier d'autant un faux-avoir. Faux-avoir qui n'est pas comptabilisé dans... l'inflation ! Ni vu, ni connu, d'où aussi l'émergence de faux riches qui se font 'des couilles en or' en échangeant des chèques au porteur contre du métal jaune.

Donc, si les guerres réduisent le nombre de 'poules aux oeufs d'or' (n'oublions pas que ce sont les... banques qui font la 'monnaie' et non l'Etat !! et que l'on ne compte plus le nombre de paradis fiscaux), l'omelette ou le dur à la coque se sert généralement sous les cocotiers avec vue imprenable comme l'île aux mains des grosses fortunes.

Donc, en résumé, les pays qui ne seront jamais attaqués(malgré la faible armée qui les supporte) sont donc les 'paradis fiscaux' protégés par satellites par...