jeudi 1 décembre 2011

Peinture verte

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Le parti 'greenpeace' s'inquiète du "nouveau code forestier qui pourrait condamner l'Amazonie" ! 'Condamner' ?! Condamner à quoi ? à vivre ! Car, il faut savoir que les brésiliens sont comme tous les autres hommes du monde: ils ne mangent pas des arbres et préfèrent les champs de cultures agricoles et les élevages. Mais de cela 'greenpeace' ne s'en soucie pas. Il n'y a jamais eu autant d'arbres, de végétation dans le monde depuis que l'homme y est apparu grâce aux procédés d'arrosage et de replantations qu'il a mis en oeuvre. Grâce au gazcarbonique (renommé 'CO²' pour faire 'intello'), la végétation croît et nous fournit plus d'oxygène qu'il y en a jamais eu (cherchez pas, c'est mathématique).

Ainsi, loin de vouloir sauver l'espèce humaine (et animale), l'algoriste greenpeace tient à faire réduire les émissions de gazcarbonique qui font pousser les arbres ! Condamner le gazcarbonique c'est condamner les émissions d'oxygène et, de par cette solution hégémonique, condamner l'homme qui a besoin de cet oxygène. Ainsi, les verts préparent-ils le monde au point zéro où ils ne sont même pas capables de proposer des énergies valables de remplacement des centrales nucléaires décriées et osent afficher: "Le soleil et le vent: c'est gratuit !"... à conditions de payer !

Qui a les moyens de payer une facture électrique multipliée par 50 aujourd'hui ? Qui ?... Vous avez deviné ? C'est ce qui s'appelle un plan (nazional socialiste) de dépopulation. Aujourd'hui (après l'assassinat de la Libye qui a fait grimper le prix du pétrole), ils parlent de refaire le coup avec l'Iran de façon a ce que - petit à petit - les dernières voitures sur la routes n'appartiennent qu'aux riches !

4 commentaires:

Blogger huemaurice7 a dit...

Fukushima: le béton de l'enceinte de 3 réacteurs sans doute entamé

TOKYO - Le combustible nucléaire qui se trouvait dans les réacteurs 1, 2 et 3 de la centrale accidentée de Fukushima a rongé une partie du béton de l'enceinte de confinement, sans toutefois traverser la coque en acier, selon des hypothèses de l'opérateur Tokyo Electric Power (Tepco).

Dans un rapport d'analyses rendu public mercredi soir, Tepco explique que ses nouveaux calculs laissent supposer que le combustible du réacteur 1 a entièrement fondu, percé la cuve sous pression et est tombé sur le sol en béton de l'enceinte de confinement, le traversant sur une profondeur qui pourrait atteindre 65 centimètres.

Le combustible fondu se trouverait ainsi par endroits à 37 centimètres de la coque en acier, elle-même entourée d'un bâtiment de béton reposant sur une dalle de 7,6 mètres d'épaisseur.

Une partie du combustible des deux autres réacteurs (2 et 3) a également fondu en partie, percé la cuve sous pression et commencé de tomber sur le béton, le rongeant sur quelques centimètres.

Tepco estime cependant que grâce à l'eau déversée, le processus d'érosion du béton est stoppé.

L'opérateur ne peut pour le moment qu'échafauder des hypothèses à partir de simulations informatiques, sur la base de diverses mesures effectuées par des instruments de télécontrôle. Nul ne peut se rendre compte de visu de l'état réel des réacteurs, à cause de rayonnements si élevés qu'ils interdisent à l'homme d'approcher le coeur des installations.

Il faudra des années avant d'y parvenir.

Les réacteurs 1, 2 et 3, les plus endommagés sur les six de Fukushima Daiichi, ont été victimes d'une perte totale de système de refroidissement à cause du tsunami du 11 mars, ce qui a entraîné la fusion du combustible et des explosions d'hydrogène qui ont soufflé les bâtiments supérieurs, projetant d'énormes quantités de matières radioactives dans l'environnement.(...)

http://www.romandie.com/news/n/_Fukushima_le_beton_de_l_enceinte_de_3_reacteurs_sans_doute_entame_011220110712.asp

1 décembre 2011 à 09:16  
Blogger huemaurice7 a dit...

(...) D’après Tepco, les 69 tonnes de combustible seraient donc restées dans l’enceinte de confinement, ne rongeant le béton que sur une profondeur de 65 cm. Dans cette configuration, le corium ne serait pas sorti de l’enceinte de confinement. Reste à expliquer pourquoi le 31 mars, la nappe phréatique à 15 m sous le réacteur était gravement polluée par de l’iode-131.

2) Ecorché du réacteur et animations par TF1 (juin) : le comble de la désinformation. On nous montre qu’un hélicoptère peut larguer de l’eau à l’intérieur même du réacteur et qu’une fois le combustible refroidi, l’eau de refroidissement s’écoule par le bas comme si l’enceinte de confinement avait une vidange… du grand n’importe quoi ! (merci à Uncas pour cette trouvaille !) (...)

http://fukushima.over-blog.fr/article-voir-fukushima-26-90728170.html?utm_source=www.nuclear-nucleaire.info&utm_medium=facebook

1 décembre 2011 à 09:28  
Blogger huemaurice7 a dit...

Les médias américains ne mentionnent que le rapport sur la fonte du réacteur n° 1 et pas la fonte-outs des n° 2 et 3.

« Le combustible nucléaire fondu au sein de l'unité n° 1 de la centrale de Fukushima Daiichi était d'une telle intensité qu'il a érodé par les 2 mètres de la base de béton de 2,6 mètres, opérateur d'usine Tokyo Electric Power Co. a déclaré dans un rapport publié le mercredi. » - WSJ 30 novembre 2011
« Une nouvelle simulation montre que les débris de barres de combustible fondus peuvent avoir infiltré plus profondément dans l'un des réacteurs nucléaires (...)
AP 30 novembre 2011 Voir : NHK : plus de la moitié du carburant a fondu le bâtiment de confinement à réacteurs n° 2 et 3, dit Tepco qui a supposé le pire scénario (vidéo)

http://enenews.com/happening-now-us-media-only-mentions-report-about-melt-through-at-reactor-no-1-not-melt-outs-at-no-2-and-3

1 décembre 2011 à 09:39  
Blogger huemaurice7 a dit...

Dans le sillage de scientifiques Fukushima catastrophe du Japon méditer sur comment regagner la confiance du Public, le Magazine Science, 29 novembre 2011 :

[...] L'accident de Fukushima exposé aux questions troublantes, conférenciers noté [...] L'échec de multiples caractéristiques de sécurité sur les centrales nucléaires ont soulevé des questions sur les prouesses techniques de la nation. Le Gouvernement volte-face sur un niveau acceptable d'exposition aux rayonnements a confondu le public et les professionnels de la santé et a fourni peu de directives. Face à la pénurie d'informations fiables sur les niveaux de rayonnement, les citoyens se sont armés avec les dosimètres, données regroupées et ont produit des cartes sur la contamination radiologique beaucoup plus détaillées que tout ce que les gouvernements ou un fonctionnaire de sources scientifiques n'avait jamais fournit. Ces évolutions suggèrent que des scientifiques et des ingénieurs ont « besoin de nous repositionner à l'administration gouvernementale et que le grand public et la communauté scientifique puissent jouer un rôle utile pour fournir des conseils scientifiques, », a déclaré le président du Conseil scientifique Takashi Onishi, un urbaniste à l'Université de Tokyo. [...]
Le Japon confronté à des choix difficiles à récupérer de la catastrophe de triple, disent d'autres oratrices. Les dizaines de millions de mètres cubes de sol contaminé dépasseraient la capacité totale de tous les sites d'élimination au Japon, » note l'ingénieur de l'Université de Kyoto Minoru Yoneda. Le décapage des sols et de la végétation pourrait faire augmenter les inondations et glissements de terrain. Trouver le juste équilibre entre la décontamination et de risque est une zone grise. « La question de la quantité de rayonnement a faible dose est tolérable est ouverte, », a déclaré le spécialiste de la santé sur le rayonnement, Tomoko Kusama président de Oita University of Nursing et Sciences de la santé. [...] Ingénieur de Kyoto u.: L'élimination des sols contaminés dépasserait la capacité de tous les sites d'élimination au Japon.

(PHOTO)

1 décembre 2011 à 10:11  

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