jeudi 23 février 2012

Ce qu'il fallait dire sur Fukushima

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Rappel des faits presque 1 an après: Les centrales nucléaire de Fukushima ont subi le 11 Mars 2011 un tremblement de terre de magnitude 9 et un raz de marée ('tsunami' en japonais), sans que ni l'un ni l'autre n'endommagent les bâtiments. Mais, par cette vérité vérifiable par tous, je ne veux pas là faire croire qu'il ne s'est rien passé. Explications sur des faits tout-à-fait anodins (!): Le tremblement de terre et le ras de marée du 11 Mars n'ont fait que de déplacer les tuyauteries d'alimentation en eau entre la mer (où elle pompée) et la centrale où elle est désalinisée. C'est-tout !

Donc, cette rupture d'alimentation en eau a fait que des barres d'uranium privées tout-à-coup de cet élément indispensable ont chauffé l'intérieur des réacteurs en coulant au fond et, production alors d'hydrogène qui a explosé. D'où l'éventration des réacteurs visible sur toutes les photos.

Donc, en définitive, ce ne sont pas les centrales qui sont dangereuses et qui doivent être renforcées à coups de milliards crachés par les contribuables non instructionnés mais seulement quelques kilomètres de tuyaux en PVC à remplacer !

D'où les grands discours par tous les cons du monde sur les mesures de sécurité qui doivent être prises non pas sur les tuyauteries rigides qui se brisent (ils n'en ont jamais parlé !!), mais sur le matelas d'or fin qu'ils entendent se gonfler au plus vite avant de prendre la poudre d'escampette en 2012 vers les paradis fiscaux où seuls pays qui vivent en paix et hors crise.

12 commentaires:

Blogger huemaurice7 a dit...

11-2-15, l’équation japonaise post-Fukushima

Par Fabrice Nodé-Langlois | Publié le 23/02/2012 à 17:16 | Mise à jour le 23/02/2012 à 17:16

A l’occasion d’un reportage à la centrale de Fukushima Daiichi (lefigaro.fr du 21 février et Le Figaro du 22 février 2012) et à Tokyo, j’ai choisi de résumer le défi énergétique auquel le Japon est confronté en trois nombres: 11, 2 et 15.

11 mars

Le 11, pour le 11 mars 2011. Le premier anniversaire du «grand séisme», comme on dit au Japon, approche. Le tsunami - pas le tremblement de terre lui-même - a dévasté quatre des six réacteurs de la centrale de Fukushima Daiichi provoquant l’accident nucléaire le plus grave depuis Tchernobyl (1986). Environ 100 000 habitants qui vivaient dans une zone de vingt kilomètres autour de la centrale ont dû quitter leurs maisons. La confiance des Japonais dans l’énergie nucléaire s’en est en toute logique trouvée ébranlée. Selon un sondage du mois de décembre publié par le quotidien nippon Asahi, 57% des Japonais se déclarent opposés à l’énergie nucléaire (à comparer avec 48% en octobre).

2 réacteurs

Le 2, pour 2 réacteurs nucléaires seulement qui produisent à ce jour de l’électricité sur les 54 que compte le Japon. Outre les quatre réacteurs de Fukushima Daiichi définitivement hors service, les autres ont été progressivement arrêtés pour des opérations de maintenance annuelles. Ils n’ont pas redémarré car les autorités réévaluent leur sûreté pour tirer les leçons de la catastrophe de Fukushima. Surtout, devant la méfiance de la population relayée par les gouverneurs élus des préfectures, le gouvernement de Tokyo ne veut pas passer en force pour redémarrer les centrales. Problème: les 54 réacteurs fournissaient avant la catastrophe environ 30% de l’électricité au pays.

15 milliards

Le 15, pour près de 15 milliards d’euros (14,75 milliards) de déficit commercial en janvier. Un record. Et le quatrième mois consécutif de déficit commercial. Principale cause: la flambée du prix et des volumes des importations d’hydrocarbures. Car pour compenser la production des 52 réacteurs atomiques à l’arrêt, le Japon fait tourner à pleine capacité les centrales à fioul, à charbon et à gaz, qui existaient - c’est une chance - en nombre.
Pour les finances du pays comme pour les industriels qui craignent l’impact de la hausse des prix de l’électricité sur leur compétitivité, cette situation doit durer le moins possible. Les industriels et le gouvernement sont partisans de redémarrer les centrales nucléaires dès lors que l’autorité de sûreté donnera son feu vert, réacteur par réacteur. Mais sur cette question de l’atome sensible entre toutes, le gouvernement souhaite obtenir un consensus à la japonaise. Le gouvernement prépare pour l’été sa nouvelle stratégie énergétique à moyen et long terme, laquelle prévoira certainement une réduction - à quel rythme? dans quelle proportion? de l’énergie nucléaire. Mais avant le long terme s’approche l’échéance de l’été, saison du pic de consommation électrique, dopée par la climatisation. Si les centrales atomiques ne redémarrent pas, l’équation de l’été pourrait être coupures de courant + économies d’énergie drastiques + explosion de la facture. Une équation politiquement et moralement dure à résoudre.

http://bourse.lefigaro.fr/devises-matieres-premieres/actu-conseils/11-2-15-l-equation-japonaise-post-fukushima-81631
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"le tremblement de terre lui-même - a dévasté quatre des six réacteurs de la centrale de Fukushima Daiichi"
Le tremblement n'a pas dévasté de lui-même la centrale mais seulement les tuyauteries d'approvisionnement d'eau. Par contre, s'il n'a pas touché le bâti des centrales, il a bien dévasté les alentours et causant la mort de nombreux habitants.

23 février 2012 à 17:32  
Blogger huemaurice7 a dit...

Près de fond 9x (302cpm), près de Plymouth, en Angleterre

8x (284cpm) de fond sous la pluie aujourd'hui à 14:44 GMT Sud-Ouest de l'Angleterre. Rain glisser hors de voiture. Comme d'habitude. Retombées d'abord dans de nombreux de nombreux jours. Le courant-jet coupé Devon que forcasted. Son seulement une légère bruine quand j'ai pris la glisser alors peut-être il était plus élevé auparavant .... mais toujours 284 coups par minute (cpm) quand la normale est de 34-37cpm.
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Fukushima:
Le capteur RPV soufflet est à 105°c. Il était à 66.6°c hier et n'a cessé de grimper toute la journée. Le confinement puits sec HVH capteur a également commencé à grimper et se trouve à 45°c jusqu'à hier 38.5°c. Le boîtier CRD est également rester élevée et est à 229°c. TEPCO a été capteurs signalant comme ayant échoué, mais ces mesures semblent indiquer un motif d'une certaine sorte toujours en cours dans le réacteur. Les trois capteurs montrant Temps élevés sont distribués dans les zones. Le CRD étant le fond de la cuve du réacteur, l'HVH puits sec étant dans l'ampoule inférieure de confinement et la cuve du réacteur soufflet étant par le capuchon supérieur du réacteur. par l'intermédiaire d'SimplyInfo

http://www.simplyinfo.org/?p=5012

http://lunaticoutpost.com/Topic-Fukushima-Disaster-Thread-Rolling-Updates?page=1634

23 février 2012 à 17:47  
Blogger huemaurice7 a dit...

La température de l'unité 2 de bas RPV a augmenté de 11,5 °C en 24 heures atteignant 47,8 ° C à 11:00 le jeudi, alors que les températures de la jupe RPV de soutien ont également augmenté de près de 10 °C au cours des 5 derniers jours. Les niveaux de température des soupapes de sûreté et les buses d'alimentation en eau ont également été en augmentation constante depuis le 19 Février. Actuellement, les niveaux de températures sont enregistrées à 50°C et 38,4°C à l'eau d'alimentation des buses. Pour évaluer la validité des nouvelles lectures, TEPCO sera de nouveau augmenter temporairement le volume d'eau injecté afin d'évaluer l'effet de refroidissement, il peut avoir sur les lectures avant de faire des jugements sur si d'autres jauges ont échoué. TEPCO a travaillé pour transférer l'eau accumulée du bâtiment turbine du réacteur 2, comme les niveaux d'eau ont augmenté de près de 20mm dans les 12 dernières heures. Le 19 Février, TEPCO a constaté que des tranchées autour de l'unité 2 pièces pompe à eau étaient pleins d'eau fortement contaminée, ce qui a été transféré au sous-sol du bâtiment turbine. réacteur 2 est pensé pour être une des sources principales de contamination radioactive des fuites dans la océan à Fukushima Daiichi. Les montants élevés de radioactivité détectés dans les fonds marins est obligeant les travailleurs à tenter une opération pour couvrir une large bande du fond marin à proximité des réacteurs battues avec du ciment dans le but de stopper la propagation du rayonnement. Un composé d'argile-ciment sera mis plus de 73.000 mètres carrés du plancher de la Pacific en face de l'usine de Fukushima Daiichi sur la zone nord-coast.The de la nation à parcourir est supérieure à 10 terrains de soccer, et sera mis plus de 60 centimètres d'épaisseur, avec 10 centimètres devraient être rongé par l'eau de mer tous les 50 ans.

par l'intermédiaire Enformable.

http://enformable.com/2012/02/tepco-face...um=twitter

23 février 2012 à 17:48  
Blogger huemaurice7 a dit...

Unité 1

-La quantité d'eau courant d'injection du système de réacteur à eau d'alimentation est d'env. 4,5 m3 / h et que du système de pulvérisation de base est d'env. 1,7 m3 / h. Unité 2 -Le 22 Février 2012, nous avons mené une enquête d'échantillonnage des gaz du système de contrôle du gaz PCV de l'unité 2 et a confirmé que Xenon 135 était en dessous de la limite de détection (1,1 x 10-1Bq/cm3) à l'entrée du système et également inférieur à 1 Bq/cm3 qui est un seuil de recriticality. Comme-aucune anomalie n'a été observée dans la variation du paramètre usine après le changement dans le débit sur ??Février 20, à 08h17 pm le 22 Février , nous avons changé le volume d'injection d'eau à partir du système d'eau d'alimentation à partir d'env. 4,0 m3 / h à env. 3.0m3 / h (L niveau d'injection d'eau à partir du système de pulvérisation de base continue à env. 6.0m3 / h). Unité 3 -La quantité d'eau courante par injection à partir du système de réacteur à eau d'alimentation est d'env. 1,7 m3 / h et que du système de pulvérisation de base est d'env. 5,2 m3 / h. -Comme les travaux d'installation du système de contrôle du gaz PCV de l'unité 3 a été achevée, nous avons commencé une opération de test à 11:38 am le Février 23. Nous avons confirmé que le montant du débit d'échappement est resté stable à 33m3 / h à 14h10 et a commencé une opération de réglage. Unité 4 -A 1:23 pm le Février 23, nous avons commencé à injecter de l'hydrazine dans la piscine de combustible usé de l'unité 4 par le biais le système de circulation de refroidissement, et il s'est arrêté à 15h00 le même jour. Unité 6 -Comme le refroidissement de la mer des composants du système de pompe à eau © de l'unité 6 a été restaurée, nous avons commencé l'essai de fonctionnement à 10h05 le 22 Février. En conséquence, le refroidissement de la mer des composants du système de pompe à eau (A) a arrêté son fonctionnement à 10:07 am le jour même. A 11h25 le même jour, nous a confirmé qu'il n'y avait pas de problème dans le fonctionnement du refroidissement composante eau de mer © pompe du système. En conséquence, deux des pompes de refroidissement des composants du système d'eau de mer de l'unité 6, (A) et © sont en fonctionnement.

http://lunaticoutpost.com/Topic-Fukushima-Disaster-Thread-Rolling-Updates?page=1634

23 février 2012 à 17:48  
Blogger huemaurice7 a dit...

Iode 131 en Europe

A nouveau de l’iode 131 dans l’air respiré en Europe.

Chronologie des détections connues en Europe :

16-23 janvier 2012 : iode 131 détecté en Norvège
21-23 janvier 2012 : iode 131 détecté en Finlande et Suède
25-31 janvier 2012 : iode 131 détecté en Pologne
depuis début février : iode 131 détecté en Allemagne, au Luxembourg, en Autriche, en République Tchèque et en France

D’où vient l’iode 131 ? Fukushima ? Tchernobyl ? Hongrie ? Roumanie ?
Un mois après le début de la pollution : mystère !

Si c’est encore l'Institut des Isotopes hongrois, à quoi ça servait de le dénoncer en novembre 2011 si on lui permet de poursuivre ses émissions gigantesques (au moins 624 GBq pour l’année 2011)?
Pourquoi les instances de sécurité nucléaire autorisent-elles des rejets 1000 fois plus importants pour cet institut (1600 GBq/an) que pour une centrale nucléaire comme celle du Tricastin (autorisation 1,6 GBq/an) ?
Pourquoi la carte EURDEP publiée par l’Europe ne donne-t-elle que des renseignements sur la Roumanie et la Pologne et pas sur les autres pays d’Europe pour les émissions radioactives bêta ? (...)

(1) Comment en savoir plus ?
Plus de 60 laboratoires d’analyse équipés de détecteurs de très haute précision sont répartis sur l’ensemble de notre planète et contrôlent quotidiennement la radioactivité de l’air. Leur mission : rechercher les très faibles quantités de produits radioactifs qui pourraient indiquer qu’un essai nucléaire a été effectué en violation du Traité d’Interdiction Complète des Essais Nucléaires (TICEN).
Les résultats de ces analyses permettraient de suivre, jour après jour, et depuis le 12 mars 2011, l’avancée des masses d’air contaminé par les rejets radioactifs de la centrale nucléaire de FUKUSHIMA DAIICHI.
C’est impossible car les données sont confisquées par les États. Les résultats sont transmis à des organismes officiels qu’ils sélectionnent et qui sont tenus de ne rien divulguer. Le réseau international de mesure est financé par de l’argent public. Les populations ont droit à cette information. Tous les chiffres doivent être publiés et non pas quelques chiffres soigneusement choisis par les autorités.
Pour en savoir plus, la Criirad a lancé une pétition citoyenne.

http://fukushima.over-blog.fr/article-iode-131-en-europe-99985396.html?utm_source=www.nuclear-nucleaire.info&utm_medium=facebook

23 février 2012 à 20:07  
Blogger huemaurice7 a dit...

Les scientifiques: De l'argent radioactif détecté dans l'océan - Les niveaux de radioactivité dans l'eau de mer ne sont pas diminuer comme on l'espérait - "site du réacteur semble encore être une fuite, il n'a pas éteint"

Titre: «sans danger» rayonnement trouvé au large des côtes du Japon
Source: Fish Info & Services (FIS)
Auteur: Natalia réel
Date: 24 février 2012

[...] Lors de l'examen du plancton et des poissons, les chercheurs ont même identifié une forme radioactive de l'argent pour la première fois dans l'océan ouvert. [...]
"La concentration de potassium-40 était de cinq à six fois plus grand que tous les éléments de Fukushima [] combinés», a expliqué le professeur Nicholas Fisher de l'Université Stony Brook. "Je n'hésiterais pas manger l'un des organismes que nous avons échantillonnés."
En outre, les scientifiques ont établi que les niveaux de radioactivité de Fukushima liées à l'eau de mer ne sont pas de diminuer aussi vite que beaucoup l'avaient espéré.
"Le site du réacteur semble encore être en fuite, il n'a pas complètement fermé, et à ces niveaux à droite sur la côte vous pourriez encore avoir ces facteurs de concentration que nous avons mesuré qui pourrait indiquer que certains organismes seraient à des niveaux impropres à la consommation humaine, "[WHOI marine chimiste Ken Buesseler] a dit. [...]

http://enenews.com/first-time-radioactive-silver-detected-in-ocean-radioactivity-levels-in-seawater-are-not-diminishing-as-hoped-reactor-site-still-seems-to-be-leaking-it-hasnt-shut-off

24 février 2012 à 09:01  
Blogger huemaurice7 a dit...

Thursday, Février 23, 2012

23300 Bq / kg de césium radioactif à partir d'un mélange de terre humide et de feuilles mortes dans Mizumoto parc à Tokyo

(Désolé, vous ne pouvez pas il suffit de multiplier le nombre par 65 et de le comparer au niveau d'évacuation de Tchernobyl. Lisez la suite pour savoir pourquoi.)
Le Mizumoto Metropolitan Park est situé dans le Tokyo oriental avec les niveaux de radiation élevés. La délégation du Parti communiste de l'Assemblée métropolitaine de Tokyo, qui a fait l'enquête sur les niveaux de radiation à Tokyo à partir de très tôt dans la crise nucléaire, a publié le résultat de la dernière enquête dans l'un des parcs métropolitains de Tokyo. L'enquête a révélé 23.300 becquerels / kg de césium radioactif à partir d'un mélange humide de la saleté et les feuilles mortes en un seul endroit dans le parc Mizumoto à Katsushika-ku, Tokyo (n°4 dans le tableau ci-dessous posté).

La délégation a fait trois essais à cet endroit avec 2 échantillons prélevés le 15 Février. Le troisième essai a été fait le 18 Février en combinant les deux échantillons prélevés sur le 15 Février et testé sur les 16 et 17 Février. Il peut être important de noter que la délégation du Parti communiste a testé le haut à 1 centimètre du sol, et le top 1 de 2 centimètres du sol et morts mélange feuilles. Les valeurs sont mesurées peuvent donc être plus élevé que les échantillons prélevés sur les 5 premiers centimètres, ce qui est une procédure normale dans les tests du gouvernement. Pour tirer "becquerel / mètre carré" de "becquerel / kg", vous multipliez le nombre de "becquerel / kg" par 65, mais que ne s'applique que si le sol est pris dans les 5 premiers centimètres. (Page de mesure de la préfecture d'Ibaraki comme référence, ici.) De la délégation du Parti communiste de l'Assemblée métropolitaine de Tokyo site (traduction en anglais est à moi; les deux dernières rangées sont la référence):
Selon Yomiuri Shinbun article (22/02/2012), « le ministère de l'éducation et des sciences établit la norme de rayonnement que requiert la décontamination comme endroits qui test « 1 microsievert/heure plus élevé que les zones environnantes » et le Bureau métropolitain de Tokyo l'environnement dit "il est inutile pour la décontamination à ce stade ». »
Il va sans dire que le ministère de l'environnement decon standard est 0,23 microsievert/heure.
Les niveaux de rayonnement à la surface et les niveaux de rayonnement air à 1 mètre du sol tous les dépassent 0,23 microsievert/heure. Le plus haut niveau de rayonnement à la surface était 1,54 microsievert/heure, et le plus haut niveau de rayonnement à 1 mètre était 0,74 microsievert/heure.
Avant l'accident nucléaire, l'intensité de rayonnement de fond moyenne de Tokyo était légèrement supérieur à 0,03 microsievert/heure. C'est le niveau juste avant que quelque chose de très radioactifs arriva de Fukushima le 15 mars 2011 quelque temps de 4 H à 4 H 59. (Voir du gouvernement métropolitain de Tokyo propre mesure, ici, comme le rayonnement de Shinjuku est passée de 0.0347 moyenne microsievert/heure entre 3 H et 3 H 59 à 0,1 moyenne de microsievert/heure dans la prochaine heure.)
Ce que le gouvernement métropolitain de Tokyo doit faire est de gratter 1 centimètre du sol sous les arbres et les arbustes et enlever les feuilles mortes pour diminuer le rayonnement. Mais ils disent ouvertement qu'ils ne vont pas faire n'importe quoi.
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(Mise à jour de Kontan Bigcat sur Twitter : le multiplicateur de 65 s'applique uniquement aux prises de 5 centimètres et avec la densité du sol (sec) de 1,3 gramme/cube Centimètre du sol.

http://ex-skf.blogspot.com/2012/02/23300-bqkg-of-radioactive-cesium-from.html

24 février 2012 à 09:02  
Blogger huemaurice7 a dit...

BBC: 4.000 Bq/m3 de césium détectés dans l'eau de l'océan à moins de 30 km de la côte de Fukushima

Titre: «sans danger» rayonnement trouvé au large des côtes du Japon
Source: Fish Info & Services (FIS)
Auteur: Natalia réel
Date: 24 février 2012

[...] Lectures de radioactivité dans l'eau de mer à travers la piste variait de moins de 3 Bq par m3 jusqu'à 4000 Bq par m3.
Le maximum de ces lectures est environ à 1000 fois plus ce qui pourrait être mesuré dans l'eau dans des conditions normales, mais ils étaient environ un dixième des niveaux généralement considérés comme nuisibles, [WHOI marine chimiste Ken Buesseler] pris note des rapports PA,.
La croisière n'a pas trouvé ces détections plus dans les zones échantillonnées les plus proches de Fukushima parce que les courants océaniques tourbillonnants forment des concentrations des composés radioactifs. Dans le même temps, les chercheurs n'ont pas été autorisés à recevoir à plus de 30km de la côte. [...]
Lire le rapport ici
Titre: Croisière trouve la pollution Fukushima
Source: Nouvelles de BBC
Auteur: Jonathan Amos, correspondant sciences
Date: 22 février 2012
[...] L'analyse a révélé des niveaux élevés d'éléments radioactifs qui pourraient être directement liés aux rejets de la centrale nucléaire.
Il s'agit notamment de césium-137 et le césium-134. Lectures de radioactivité dans l'eau de mer à travers la piste variait de moins de trois becquerels par mètre cube jusqu'à 4.000 becquerels par mètre cube.
Le maximum de ces lectures est environ mille fois ce que pourrait être mesuré dans l'eau avant l'accident nucléaire.
Fait intéressant, la croisière a trouvé ces détections ne sont pas plus élevés dans les zones échantillonnées les plus proches de Fukushima. [...]

http://enenews.com/bbc-4000-bqm3-cesium-detected-ocean-water-30-km-fukushima-coast

24 février 2012 à 09:03  
Blogger huemaurice7 a dit...

Source Asahi: Destinations en Chiba est venu sous les retombées nucléaires lourdes; frontières
Tokyo - Contamination dispose d'un potentiel d'affecter les écosystèmes

Les concentrations de césium varient en rivière, le sable du lac, près de Fukushima
Source: AJW par le Asahi Shimbun
Auteur: Takashi Sugimoto, Rédacteur
Date: 24 février 2012

Les concentrations de césium radioactif à fond des rivières et des lacs sont très variables, mais il comprendrait aussi avec le potentiel d'affecter les écosystèmes, selon des études du ministère de l'Environnement sur les systèmes d'eau. [...]
Fukushima
Le césium radioactif d'origine hydrique [...] de 7 becquerels par litre [était] détecté dans une rivière de la préfecture de Fukushima.
[Note: 7 Bq / L = 7000 Bq/m3; La plus forte concentration de césium constaté au cours du voyage de recherche très médiatisé dirigé par Ken Buesseler est 4000 Bq/m3 ]
Sendai
En sable sec [...] la lecture était de 11.100 becquerels par kilogramme le long du fleuve Nanakitagawa à Sendai.
Ibaraki et de Chiba
Certains cours d'eau à Ibaraki et de Chiba préfectures ont également montré des lectures élevées. Ils coïncident avec la plupart des endroits qui sont venus en vertu de retombées nucléaires lourdes de la Fukushima n ° 1 des centrales, ont précisé les sources.
Gunma et Tochigi
Sable sous les étangs et les lacs dans certaines régions montagneuses de Gunma et Tochigi préfectures produit des lectures relativement élevées. Césium susceptibles coulait dans les bois environnants, où les niveaux de radiation sont élevés.

http://enenews.com/asahi-source-locations-in-chiba-came-under-heavy-nuclear-fallout-borders-tokyo-contamination-has-potential-to-affect-ecosystems-in-areas

24 février 2012 à 09:05  
Blogger huemaurice7 a dit...

Insight: la crise nucléaire du Japon va beaucoup plus loin que Fukushima

(...) L'usine de Rokkasho est due à enfin commencer en Octobre, à peine 19 mois après que les nuages radioactifs à Fukushima aient déclenché la pire au monde des crises nucléaire en 25 ans - une crise aggravée par les 1.800 tonnes de combustibles nucléaires de tiges usées étant stockées à la puissance station lorsque la catastrophe a frappé.
Comme le Japon se rapproche de l'anniversaire de tremblement de terre le 11 Mars, l'industrie nucléaire, dont un peu plus d'un an il y a fourni un tiers de sa puissance, est pratiquement paralysé. Tous, sauf deux des 54 réacteurs qui sont hors-ligne.
Les réacteurs ont été fermés de façon constante pour l'entretien, incapable de redémarrer jusqu'à ce qu'ils rencontrent de nouveaux stress tests qui visent à déterminer si les centrales électriques à l'avenir peuvent supporter le genre de force naturelle terrifiante lâchée sur Fukushima: un séisme de magnitude 9 et un mur d'eau plus de 10 mètres (30 pi) de hauteur.(...)

(...) Mais contrairement à la France et les États-Unis, le plus grand du monde générateurs d'énergie atomique, le Japon n'a pas beaucoup de la manière de paysages géologiquement stables et vide dans laquelle enfouir les déchets nucléaires pendant des siècles. Compte tenu de sa densité de population qui est 10 fois plus élevé qu'aux États-Unis et près de trois fois plus élevé que celle en France, le Japon est confronté à un «pas dans ma cour" problème pas comme les autres grands d'énergie nucléaire nation.(...)

http://www.reuters.com/article/2012/02/24/us-japan-nuclear-waste-idUSTRE81N08P20120224?feedType=RSS&feedName=worldNews

24 février 2012 à 09:05  
Blogger huemaurice7 a dit...

Encore une fois ? Température jusqu'à 20 ° C à réacteur n ° 2 RPV dans les 3 derniers jours - jauges autres à également en hausse (CHART)

La température de l'unité 2 de bas RPV a augmenté de 11,5 ° C en 24 heures atteignant 47,8 ° C à 11:00 le jeudi, alors que les températures de la jupe RPV soutien ont également augmenté de près de 10 ° C au cours des 5 derniers jours. Les niveaux de température des soupapes de sûreté et les buses d'alimentation en eau ont également été en augmentation constante depuis le 19 Février.

http://enenews.com/again-temperature-20c-reactor-2-rpv-last-3-days-other-gauges-rising-chart

24 février 2012 à 09:06  
Blogger huemaurice7 a dit...

HCR: Le Mystère de poudre noire radioactive détectée dehors de l'école - les messages officiels locaux 3 vidéos de la substance noire

(photo & vidéo)

http://enenews.com/hcr-mystery-black-radioactive-powder-detected-outside-school-local-official-posts-3-videos-of-black-substance-photo-videos

24 février 2012 à 09:07  

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