vendredi 24 février 2012

L'impossible reste à faire

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Au regard de l'actualité depuis cette date mémorable du 11 Mars 2011, où les tuyaux faisant office de distributeurs/contributeurs à l'alimentation des réacteurs en eau désalénisée du Pacifique et explosion participative pour non approvisionnement de cet élément désormais délicat, il ressort que des 'polytechniciens' d'hauts calculs auraient pris la tangente pour ne laisser là que des ouvrageurs au tas de sable avec pelles et râteaux. Contemplant ce phénomène mis en gros titres dans les médias où l'explicatiomètre ferait défaut, les journalistes ont donc depuis un an pris les écervelés pour ce qu'ils sont afin d'asseoir une bonne fois pour toute les anti-énergie nucléaire comme étant le salut de notre globe. Ainsi, depuis des décennies, les centrales renforcées feraient office d'impactage impossible par un avion de ligne s'y écrasant. Soit. (je ne suis pas entré dans les calculs de résistance des matériaux). Mais, le plus fort reste à venir ! Voyez plutôt l'info anodine que j'aie soulevé hier (et qui a eu grand succès !) : Les tuyauteries servant à l'approvisionnement d'eau seraient extérieures à toutes les centrales (du monde !) et, de plus, non-protégées d'attaques terroristes !! Que n'avons-nous pas découvert là ?! Ainsi, suffirait-il de couper/obstruer une alimentation d'eau pour qu'elle soit la commandatrice de toute explosion qui s'en suivrait !! J'invente pas, tout est visible du dessus ! Trop bien !

Prenons là le simple exemple de... allez tiens: 'Fukushima' (au hasard), les tuyaux en PVC sont dehors, et, nous l'avons vu cet hiver, sous la neige. Le froid glacial rend les tuyaux fragiles et, il suffirait là d'une bonne secousse pour qu'ils partent en mille morceaux ! Je ne plaisante pas, ils ne sont même pas protégés du froid et l'eau gèle dans les tuyaux !!! (si quelqu'un de loin, la nuit, s'amuse à lancer des pierres...).

"Ben Laden, le retour" ?

Autant avons-nous été émerveillé par le 11 septembre 2001 où les hologrammes remplaçaient les avions terroristes ("l'enquête" n'est pas finie, on cherche encore qui était aux joysticks !), autant avons nous cru bon de mettre nouvellement la main à la poche pour se protéger d'attaquants Pikachu en laissant apparaître en aéroports des désormais scanners mortels par leurs rayonnements, autant aujourd'hui, cette soupe hollywoodienne resservie ne nous sied pas vraiment. Suffit de voir avec quel enthousiasme et délicatesse les employés de la TEPCO japonaise semble être trié sur le volet pour intervenir auprès des centrales ! Des SDF ! Des n'importe qui qui peuvent d'un coup de pelle rompre tel ou tel tuyau d'approvisionnement en eau en soi-disant y être allé à côté pour ramasser des feuilles mortes ! Hahahaha ! Tu me le copiera !

Donc, plutôt que de changer les tuyaux ou de les protéger, ils parlent aujourd'hui de l'abandon du nucléaire ! Et encore là, je ne parle pas du nombre de voitures qu'il pourrait y avoir au bord des routes si elles étaient abandonnées au moindre pneu crevé !


17 commentaires:

Blogger huemaurice7 a dit...

vendredi 24 février 2012

Les dépositions de carburant nucléaire sur le sol japonais
Les dépositions de carburant nucléaire sur le sol japonais. Si il y a tant de césium 137 alors...

Des dépôts de "matière noire" qui a toute l'apparence de combustible nucléaire pulvérisé contenant bien évidemment de l'uranium, du plutonium, de l'américum, du strontium, du césium etc. jonchent le sol japonais. Si il y avait besoin d'extrapoler l'activité globale de ces poussières noires à partir de l'activité du Césium 137 il faudrait probablement multiplier l'activité de celui-ci environ de 4 à 14 fois...
Cas 1. Il s'agit de combustible "actif" provenant des coeurs à l'UOX. Après 350 jours de décroissance une tonne de carburant ayant subi un taux de combustion de 14 GwJ/t (14,43 kg fissionnés par tonne) fait montre d'une activité moyenne de 5,89E5 Ci/t (2,18E16 Bq) et d'une quantité de doses létales potentielles par inhalation de 267,28 millions de Ld/t. Le Cs137 représente 7,36% de l'activité résiduelle globale de cette tonne de carburant. Il suffit donc de multiplier l'activité du Cs137 par 13,587 pour déduire cette activité résiduelle totale.

Cas 2. Il s'agit de carburant "éteint" depuis 5 ans. Après 5 ans de décroissance une tonne de carburant ayant subi un taux de combustion de 35 GwJ/t (36,08 kg fissionnés par tonne) exhibe une activité moyenne de 5,21E5 Ci/t (1,93E16 Bq) et une quantité de doses létales potentielles par inhalation de 1,10 milliards de Ld/t. Le Cs137 représente 18% de l'activité résiduelle globale de cette tonne de carburant. Il suffit donc de multiplier l'activité du Cs137 par 5,555 pour déduire cette activité résiduelle totale.

Cas 3. Il s'agit de carburant "éteint" depuis 20 ans. Après une décroissance de 20 ans cette tonne a d'une activité moyenne de 2,90E5 Ci/t (1,07E16 Bq) et contient une quantité de doses létales potentielles par inhalation de 1,36 milliards de Ld/t. Le Cs137 représente 22,88% de l'activité résiduelle globale de cette tonne de carburant. Il suffit donc de multiplier l'activité du Cs137 par 4,37 pour approcher cette activité résiduelle totale. NB. Comme on le note en comparant les Ld/t à 5 et à 20 ans, la radiotoxicité augmente au fil du temps bien que la radioactivité baisse.
Nous souhaitons que les plus cinglantes des preuves spectrométriques viennent contredire cette profonde inquiétude à propos de ces assassines "poussières" noires.

http://aipri.blogspot.com/2012/02/les-depositions-de-carburant-nucleaire.html

24 février 2012 à 13:39  
Blogger huemaurice7 a dit...

L'Agence américaine de Daze Après le désastre de Fukushima, Transcriptions Show

(...) Les autorités japonaises ont immédiatement nié que la piscine était à sec, et dans les jours suivants, les conversations enregistrées ont indiqué que des représentants du CNRC ont convenu. «Je dirais que, à compter de cinq heures hier, la piscine a de l'eau dedans," Charles Casto, un fonctionnaire du CNRC au Japon, a déclaré dans un appel le 16 Mars. Il a poursuivi en disant: ". Je dirais que c'est probablement inexact de dire que c'est sec"(...)

http://globalspin.blogs.time.com/2012/02/24/confusion-in-u-s-agency-after-fukushima-disaster-transcripts-show/
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Ainsi, les 'autorités japonaises' parlaient-elles d'une humidification des parois intérieures du bassin supérieur destiné a recevoir comme à laisser couler suffisamment d'eau en dessous (dans le réacteur) en cas de problèmes ?
Donc là, vous noterez encore que l'on a à faire à des personnes compétentes qui peuvent justifier leurs dires "Je dirais que c'est probablement inexact de dire que c'est sec", "Je dirais que, à compter de cinq heures hier, la piscine a de l'eau dedans," Hahaha ! Trop bien !

24 février 2012 à 13:40  
Blogger huemaurice7 a dit...

Les nouvelles technologies peuvent retirer 99,9 pour cent du césium radioactif dans le sol

Une nouvelle technologie qui permet d'éliminer jusqu'à 99,9 pour cent du césium radioactif dans le sol contaminé a été mis au point, suscite des espoirs pour réduire les déchets radioactifs dans les zones touchées par la catastrophe nucléaire de Fukushima, il a été appris.
Taiheiyo Cement Corp et le Centre national de recherche agricole à Tsukuba, Ibaraki Prefecture, conçu la technique révolutionnaire pour réduire drastiquement le césium dans les sols contaminés. Le sol à gauche après le processus de décontamination peuvent être utilisés comme matériaux de construction pour la récupération des zones sinistrées, tels que le béton de granulats, selon les développeurs. La méthode emploie un petit four rotatif dans lequel le césium-contaminé le sol est mélangé avec du calcium composés pour promouvoir une réaction avant que les matériaux sont chauffés à 1350 degrés Celsius.
Le césium séparé du sol contaminé est alors capturé par les filtres.

Lors d'un essai sur le sol contaminé dans la préfecture de Fukushima, les niveaux de césium radioactif dans le sol a diminué, passant 67,300 becquerels par kilogramme à 29 becquerels.

Bien que les filtres, teintés de césium après le processus, ont besoin d'une manipulation minutieuse, la méthode est censée contribuer à réduire la quantité de déchets radioactifs.

Si le pétrole lourd est utilisé comme source de chauffage pour le four, il vous en coûtera 50.000 yens à 60.000 yens par tonne de sol contaminé pour l'opération, les développeurs a déclaré. "Nous espérons contribuer à réduire au minimum les sites d'élimination des sols contaminés par de tels efforts de réduction des coûts que l'utilisation des fours existants», a déclaré un officiel du Centre national de recherche agricole. «La méthode pourrait également être appliqué à la disposition des feuilles mortes et de riz

http://lunaticoutpost.com/Topic-Fukushima-Disaster-Thread-Rolling-Updates?page=1635

24 février 2012 à 14:31  
Blogger huemaurice7 a dit...

Le Japon apprend à se passer du nucléaire

De notre correspondant Philippe Mesmer, publié le 24/02/2012 à 12:55

Depuis le drame du 11 mars 2011, la vie de l'archipel reste marquée par les effets de la catastrophe. Ici, les logements construits pour abriter les réfugiés.
REUTERS/Kubota Yoko

Près d'un an après le drame de Fukushima, l'archipel n'a presque plus de réacteurs nucléaires en activité. Sans drame. Chacun a su réduire sa consommation.
Le Japon pourrait bien se réveiller un beau matin d'avril sans le moindre réacteur nucléaire en service. Sur les 54 construits depuis le début des années 1970, seuls trois fonctionnaient encore à la mi-février, et pour seulement quelques semaines. Dans l'archipel, un réacteur est arrêté pour inspection après treize mois de fonctionnement. Depuis l'accident de Fukushima, le 11 mars 2011, le gouvernement a ajouté à ces contrôles réguliers une double batterie de tests de résistance et n'a pour l'instant délivré aucune autorisation de redémarrage.

Si aucun réacteur n'était relancé, le Japon se trouverait privé de 30% de ses capacités de production d'électricité. De quoi faire craindre au ministre de l'Economie, du Commerce et de l'Industrie, Yukio Edano, "des difficultés pour passer l'été", saison au cours de laquelle la consommation de courant est la plus importante dans le pays.
Une inquiétude justifiée? Pas sûr, car rien n'indique, aujourd'hui, que l'absence du nucléaire menace le quotidien des Japonais et le fonctionnement des grandes entreprises. "En raison des inspections régulières des réacteurs, les compagnies d'électricité avaient déjà construit des centrales thermiques, afin de compenser leurs arrêts", observe Junichi Sato, directeur exécutif de Greenpeace Japon. Le plus souvent à l'arrêt ou sous-exploitées avant le séisme et le tsunami du 11 mars, elles ont été relancées et assurent, à présent, un approvisionnement stable en électricité.

L'existence de ces centrales n'explique pas à elle seule l'absence de pénurie de courant. "Depuis Fukushima, souligne Junichi Sato, il y a eu une prise de conscience de la population de la nécessité de contrôler sa consommation." Ainsi, pendant les chaleurs de l'été 2011, et alors que les compagnies d'électricité se montraient alarmistes, évoquant un risque élevé de coupures, le pic de consommation, enregistré le 18 août, n'a pas dépassé 49,22 gigawatts, contre 59,99, le 23 juillet 2010.

(suite en dessous):

24 février 2012 à 16:52  
Blogger huemaurice7 a dit...

Les Japonais ont adopté de nouveaux réflexes, préférant le ventilateur à l'air conditionné, privilégiant la chemisette et le pantalon de toile au costume cravate. Les entreprises elles-mêmes ont su réduire leur consommation de 15%, conformément aux demandes du gouvernement. "Chaque journée qui passe prouve que l'on peut vivre sans nucléaire", note Junichi Sato. Et puis, pour les Japonais, en majorité favorables à l'abandon progressif de cette technologie, chaque séisme rappelle la catastrophe et ravive les inquiétudes sur l'état des centrales.

Les mois les plus chauds vont être vécus sans nucléaire
L'argument des tenants d'une relance rapide des réacteurs à l'arrêt n'a pas tenu, et ne tient toujours pas. Même la menace d'une facture plus salée, liée à la hausse des coûts induite par l'augmentation des importations de pétrole, de gaz et de charbon (de 37% à 24,8 milliards d'euros entre avril et septembre 2011) ne semble pas en mesure d'inverser la tendance. Le gouvernement lui-même hésite à redémarrer des réacteurs. Il semble d'abord vouloir connaître les conclusions de l'étude sur l'avenir énergétique du Japon, attendues pour cet été.
L'archipel s'apprête donc à vivre les mois prochains, notamment les plus chauds, sans nucléaire. Malgré les craintes des autorités et les risques présumés de pénurie, la menace paraît limitée. Et cette situation pourrait perdurer. Après tout, deux des réacteurs de la centrale de Kashiwazaki-Kariwa sont à l'arrêt depuis le séisme de Niigata de... 2007. Ils n'ont jamais été relancés, faute d'un accord des autorités locales. Et le 9 février dernier, une association de Tokyo a annoncé avoir réuni 250 000 signatures, un chiffre suffisant pour obtenir l'organisation d'un référundum sur l'utilisation du nucléaire au profit de la capitale japonaise.

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/asie/le-japon-apprend-a-se-passer-du-nucleaire_1084736.html
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Expérience suicidaire qui mérite d'être vue de près ! Si cette inversion se confirme, ce retour au 18 ème siècle pour la population nippone va foutre en l'air pas mal d'entreprises vu que la 'société de consommation' y fait défaut. Cette nouvelle 'Afrique de l'Est' prend peu à peu le chemin du manque évident d'information pour en revenir au 'bouche à oreille'. De là a ce qu'ils s'habillent de peaux de bêtes...

24 février 2012 à 16:53  
Blogger huemaurice7 a dit...

Fukushima : niveaux très élevés de radioactivité dans des municipalités de la zone évacuée

Un rapport d'étape du ministère de l'environnement japonais, rendu public vendredi 24 février, confirme des niveaux très élevés de radioactivité dans des municipalités de la zone évacuée autour de la centrale nucléaire de Fukushima, théâtre d'un accident après le tremblement de terre et le tsunami du 11 mars. Ce document, qui se fonde sur des mesures effectuées entre le début de novembre 2011 et la mi-janvier 2012, vient corroborer les résultats antérieurs.

Le rapport met en avant des niveaux de radioactivité pouvant atteindre 470 millisieverts par an, comme dans la ville de Futaba, au nord de Fukushima, alors que la norme habituelle en conditions normales n'excède pas 1 millisiervert par an. Toutefois, précise le rapport, les taux enregistrés varient énormément, même au sein de la même commune, ce qui prouve une dispersion très hétérogène de la contamination. Ainsi certaines mesures prises à Futaba mettent en avant des niveaux parfois proches de la normale.

http://www.lemonde.fr/japon/article/2012/02/24/fukushima-niveaux-tres-eleves-de-radioactivite-dans-des-municipalites-de-la-zone-evacuee_1648153_1492975.html

24 février 2012 à 17:10  
Blogger huemaurice7 a dit...

Niveau de radiation élevé enregistré dans la ville à proximité de Fukushima usine

TOKYO (Kyodo) - Des niveaux élevés de rayonnement ont été détectés dans les municipalités dans les zones d'évacuation autour de l'usine estropiés Fukushima Daiichi l'énergie nucléaire, avec la lecture la plus élevée de 470 millisieverts par an enregistrées dans une ville, un rapport à mi-parcours sur une enquête Ministère de l'Environnement a montré vendredi.

Une enquête menée entre novembre 7 et 16 janvier a montré que les lectures annuelles surmonté de 50 millisieverts - un niveau jugé inhabitable en vertu d'une nouvelle classification proposée - dans de nombreux endroits au nord-nord-ouest de la plante qui a été paralysé par le tremblement de terre et Mars 2011 tsunami.
Le plus haut niveau de 470 millisieverts a été connecté à un endroit dans Futaba, au nord-ouest de l'usine, tandis que le niveau le plus bas de 5,8 millisieverts a été détecté dans une autre partie de la même ville, selon l'enquête.
Les résultats étaient similaires à ceux d'une enquête antérieure par le ministère de la science en utilisant des avions.

Le ministère de l'Environnement envisage d'élaborer un rapport final sur l'enquête d'ici la fin de Mars de sorte que le gouvernement peut utiliser les données de reclasser une zone de non-droit et de la zone d'évacuation près de l'usine en trois catégories en Avril.
Les trois catégories sont une zone inhabitable avec des niveaux de rayonnement annuelles de 50 millisieverts ou plus, une zone avec des niveaux compris entre 20 et 50 millisieverts, où les résidents serait limitée, et une autre zone avec des niveaux inférieurs à 20 millisieverts, où les résidents seraient autorisés à retourner dans les stades.
Le ministère des Transports a décidé de réduire la zone d'interdiction aérienne au-dessus la préfecture de Fukushima à partir d'un rayon de 20 kilomètres de l'usine de Fukushima à 3 km de rayon sur la base de l'enquête menée par le ministère des sciences plus tôt en Février, à compter du vendredi minuit.

Le plus haut niveau de rayonnement est de 12 microsieverts par heure à une altitude de 150 mètres. Le ministère des Transports a déterminé que plus la zone d'exclusion aérienne ne sera pas compromettre la sûreté de l'exposition aux rayonnements estimée à cette altitude pendant 1000 heures de vol par an serait de moins de 20 millisieverts, le niveau fixé par le gouvernement pour désigner une zone d'évacuation, il a déclaré .
Pendant ce temps, le ministère de l'Environnement a également déclaré que des niveaux élevés de césium radioactif ont été détectés dans les cendres et de bois de chauffage dans les huit préfectures dans les régions de Tohoku et Kanto, avec la lecture la plus élevée de 240.000 becquerels par kilogramme mesurée dans les cendres d'un ménage dans Minamisoma, Fukushima Prefecture .
Dans une enquête menée sur les cendres du bois de chauffage et de 65 ménages, 163.000 becquerels de césium a également été détectée dans les cendres d'un ménage dans Kawamata à Fukushima. A deux ménages de la préfecture, du bois de chauffage autour des maisons avaient été collectées et utilisées pour l'eau du bain bouillant.

Les déchets à des niveaux de rayonnement de plus de 100.000 becquerels doit être conservé dans un site d'élimination avec ses parois et la base scellé avec du béton armé pour empêcher les eaux de pluie, et seulement perdre avec des niveaux de rayonnement de 8000 becquerels ou ci-dessous peuvent être éliminés comme des déchets normaux.
Plus de 8.000 becquerels de césium a été détectée dans les cendres à partir de 13 ménages, soit trois à Iwate, l'une à Miyagi, huit à Fukushima et un dans les préfectures d'Ibaraki - alors que jusqu'à 1.460 becquerels a été détecté dans le bois de chauffage, a indiqué le ministère.

(Mainichi Japon) Février 25, 2012

http://mdn.mainichi.jp/mdnnews/news/20120225p2g00m0dm015000c.html
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25 février 2012 à 09:47  
Blogger huemaurice7 a dit...

A Fukushima les niveaux de température du réacteur 2 sont à la hausse au cours des dernières 48 heures

Posté par Lucas W Hixson sur Février 24 2012

Les niveaux de température à Fukushima Daiichi réacteur 2 obligent les travailleurs à Fukushima Daiichi à prendre des mesures spéciales afin de vérifier l'exactitude des travailleurs de l'usine de lectures sont à l'aide à maintenir un état d'arrêt à froid. Le 22 Février, TEPCO a constaté que un thermomètre dans la partie inférieure de la cuve du réacteur a été une tendance différente de celle des autres indicateurs.

TEPCO a testé les fils reliant la salle de contrôle d'urgence de contrôle pour les thermomètres dans l'enceinte de confinement et n'a trouvé aucune preuve de fils défectueux ou cassé, mais en fait, confirmé que la résistance DC est devenu plus élevé que les tests précédents avaient montré. Comme il est possible que les relevés de température pourrait être une conséquence de la dispersion du carburant effondrement ou parce qu'un ou plusieurs des thermomètres a un défaut, TEPCO sera de développer de nouveaux tests pour évaluer la solidité des lectures, et en attendant, continuer à surveiller le niveau de xénon-135 dans le réacteur qui indiquerait recriticality.
En Février 24th , seulement 3 des relevés de température encore étiquetés comme «exacte» par TEPCO ont pas eu des niveaux de température tendance à la hausse au cours des 48 dernières heures. Les jauges de tige supérieure de contrôle ont baissé d'un degré Celsius la lecture sur 208,8 2-23, à -5,8 degrés Celsius à partir de 11h00 Février 24, le SRV, une partie des buses d'eau d'alimentation, la partie inférieure et supérieure des niveaux de température RPV ont tous augmenté au cours des dernières 48 heures.

http://enformable.com/2012/02/fukushima-reactor-2-temperature-levels-rising-over-last-48-hours/

25 février 2012 à 09:48  
Blogger huemaurice7 a dit...

Fonctionnaire de l'ONU: De nouveaux pays vont vers le nucléaire malgré Fukushima

Publié le 25 février 2012

NATIONS UNIES (AFP) - Au moins cinq pays vont commencer à travailler sur leurs premiers réacteurs nucléaires cette année, malgré la secousse à la confiance internationale provoquée par la catastrophe de Fukushima, un haut responsable nucléaire de l'ONU a déclaré vendredi.

«Nous nous attendons à ce que cette année le Vietnam, le Bangladesh, Émirats arabes unis, la Turquie et la Biélorussie vont commencer la construction de leurs premières centrales nucléaires», ajoute M. Kwaku Aning, directeur général adjoint de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), lors d'un forum à New York .

Il a dit la Jordanie et l'Arabie saoudite pourrait suivre en 2013. Environ 60 pays ont approché l'agence internationale de l'année écoulée sur le démarrage des programmes nucléaires, Geoffrey Shaw, le directeur de l'AIEA en général à l'Organisation des Nations Unies, a déclaré le même forum.

M. Aning a déclaré que tous les pays qui envisagent l'énergie nucléaire a posé des questions difficiles au sujet le 11 Mars 2011, en cas de catastrophe de Fukushima, quand un réacteur japonais est entré en crise après avoir été frappé par un séisme et le tsunami.

http://www.straitstimes.com/BreakingNews/World/Story/STIStory_770616.html

25 février 2012 à 09:49  
Blogger huemaurice7 a dit...

Les retombées de Fukushima

«LE MONDE EST lourdement sur nous,» dit Katsunobu Sakurai, rappelant le jour de son poids presque écrasé la vie de sa ville.
Dans la matinée du 11 Mars l'année dernière, Minamisoma et son maire ont été aux prises avec les mêmes problèmes banals comme de nombreuses autres petites villes rurales à travers le Japon: un déclin, population vieillissante, grincent des services publics et une économie chancelante locale. A la nuit tombée un désastre existentiel avait englouti le bureau du maire Sakurai, celui à partir duquel il n'a pas encore de ré-émerger.

Il a commencé avec le tremblement de terre énorme qui a frappé la côte de la ville de 71,000 à 14h46. Moins d'une heure plus tard, Sakurai était sur le toit de la mairie, le strabisme vers la mer, à 10 km. "Nous avons pu voir cette énorme nuage de poussière s'élevant dans l'air du Pacifique. J'ai demandé à quelqu'un, «Est-ce un incendie ? Ensuite, nous avons réalisé que c'était le tsunami. "
Même en parlant du déluge a été inondé des centaines de maisons, la noyade des personnes âgées et les enfants; parfois des familles entières. Le soir, des cadavres ont été amenés à une morgue improvisée dans un collège.
Le tremblement de terre et le tsunami ont fait 630 morts, dont 100 enfants, dans Minamisoma. Pendant des jours, Sakurai se demandait si ses parents âgés étaient parmi les victimes. Mais au lieu de chercher pour eux, il a été face à la crise qui définirait sa ville.
Le 12 Mars, à 23km au sud de son bureau, une explosion a soufflé en dehors du réacteur bâtiment 1 abritant à la centrale nucléaire de Daiichi. Son exploitant, Tokyo Electric Power, et le gouvernement étaient le silence sur ce qui se passait. La télévision publique a déclaré qu'il n'y avait pas lieu de s'affoler. Citoyens de Minamisoma fait leur propre opinion et ont commencé à fuir à la rumeur de rayonnement.
Quelques jours plus tard, la ville était presque vidée. Vingt-sept mille habitants - un tiers de la population - n'ont pas encore d'y retourner. "Ils sont éparpillés partout au Japon," dit Sakurai. «Nous savons de certaines familles en Amérique aussi. Qui sait si ils vont jamais revenir ? "
Environ 150 des 830 de sa ville les employés sont tenus de quitter cette année, un «effondrement municipal» provoquée par le stress de la calamité de l'an dernier. "Nous avons dû travailler tout par nous-mêmes, parce qu'il n'y avait aucune aide du gouvernement central. Nous voyons les résultats de cela maintenant. "
Agonie Minamisoma a été reproduit le long de la côte nord-est, où le tsunami en certains points surmonté 40m. Dix-neuf mille personnes ont finalement été mortes ou disparues. Parmi les téraoctets de séquences numériques de catastrophe du Japon, un des spectacles les plus déchirants qui fuient les réfugiés de Rikuzentakata, jusqu'à la côte de Minamisoma, regarder à partir d'une colline, comme une énorme vague boueuse lentement avale leur image de ville-carte postale. Voix derrière la caméra tremblante enregistrer les émotions de la foule, de l'incrédulité initiale à l'horreur, puis mélopée funèbre désespoir. Un homme âgé ne cesse de répéter " Tomete kure, Tomete kure "(" Arrêtez, s'il vous plaît arrêter ").

(suite en dessous):

25 février 2012 à 09:50  
Blogger huemaurice7 a dit...

Mémoire et oubli étaient la vie ou de mort questions le 11 Mars, 2011. Akio Komukai, un ouvrier d'usine de 61 ans, rappelle l'accélération de la côte dans la ville de Ofunato après le séisme et les enfants de réunion sur leur chemin de l'école. "Ils marchaient vers la mer, et j'ai roulé en bas de la fenêtre de ma voiture et a crié,« Tsunami tendenko "(" Il ya un tsunami à venir ! Vous devez fuir ! ") Les enfants avaient l'air lors de la 61-ans la marche Cassandra et gardé, un épisode qu'on ne l'imagine se répète à travers les siècles.
Les alertes au tsunami sont courantes dans le Tohoku (nord-est) la région: il y en avait eu un quelques jours avant le 11 Mars. Komukai, qui se souvient d'un tsunami de 1960 emportant les maisons, se demande encore qui, parmi les enfants ont survécu.
"Ils ne me croyaient pas», dit-il. "Nous oublions que la mer est proche parce que nous construisons à côté d'elle. Puis le tsunami arrive et emporte les maisons et vous pouvez voir la mer à nouveau. Et on nous rappelle. "
Le tsunami a ravagé d'une avalanche énorme Rikuzentakata, emportant 45 pompiers jeunes qui essaient de fermer la porte, la déchirure de la ville de 23.000 personnes à partir de ses racines et en laissant derrière eux un paysage béante qui a rappelé les survivants de Hiroshima après la Seconde Guerre mondiale et de Nagasaki. Les journalistes ont trouvé les systèmes de navigation automobile encore les diriger vers le bureau de poste, l'hôpital et d'autres sites qui ne sont plus là. Les survivants peuvent souvent être vu ramasser dans la boue pour les effets, en particulier des albums photo. Dans les centres de réfugiés de fortune, des photographies à cordes pincées du déluge ont été aménagés à l'entrée, dans l'espoir que leurs propriétaires ne les réclamer - si elles avaient survécu.
Aujourd'hui, seuls les squelettes d'acier-structurés bâtiments obstacle à un grand nombre de ces villes côtières à Iwate, Miyagi et Fukushima préfectures. Deux-pièces maisons préfabriquées ont vu le jour dans les écoles, les parcs et tous les espaces disponibles du public, qui abrite les 340.000 personnes environ déplacées par la catastrophe. Les plus chanceux, comme Makoto Mikamori et sa femme, Megumi, ont déjà commencé à reconstruire.
«C'est difficile, mais notre communauté a rassemblé, de sorte que nous gérons», explique Yoshiko Oikawa, qui a perdu sa maison près de la côte à Ofunato. Il faudra plusieurs années avant qu'elle et ses trois enfants à prendre un nouveau domicile, mais elle se considère chanceuse, parce que ses enfants sont en sécurité. Certains de leurs amis n'étaient pas aussi chanceux.
L'histoire a montré que ces communautés puissent reconstruire, souvent avec une rapidité remarquable. En 1933, des vagues atteignant jusqu'à 28m de hauteur a démoli une grande partie de cette côte, laissant plus de 3.000 morts ou disparus. Un autre tsunami, jusqu'à 38m de haut, a frappé en 1896, tuant 22.000. Ofunato, Minamisoma, Rikuzentakata et d'autres villes ont toujours rebondi, érigeant des monuments en pierre, au plus haut point de le tsunami qui a frappé leur maison, puis oublier leurs leçons, le lettrage de pierre fané une métaphore de l'amnésie collective.

(suite en dessous):

25 février 2012 à 09:52  
Blogger huemaurice7 a dit...

Récupération cette fois, cependant, est moins facile à prédire. Même avant le 11 Mars 2011, les communautés telles que Rikuzentakata, où plus d'un tiers de la population est de 65 ans ou plus, ont été flétrissement. Beaucoup craignent la catastrophe permettra d'accélérer la migration vers les villes, les affiner travail de sape de l'énergie et les taxes nécessaires à la reconstruction.
La régénération est également compliquée par le rayonnement de l'usine de Daiichi, qui a recouvert de 8 pour cent de l'ensemble du pays. Presque tous les 23 millions de tonnes de gravats par le tsunami et tremblement de terre est encore entassés autour de la côte, car il est largement admis d'être contaminés et le gouvernement ne peut pas convaincre les autorités locales d'en disposer.
La plupart des dommages ont été infligés pire rayonnement les 14 et 15 Mars, quand un panache de l'usine a été transporté par les vents au nord-ouest de l'usine de Daiichi et plus des terres agricoles vierge à Fukushima, l'un des paniers alimentaires du Japon clés. «Il a plu sur ces nuits, et la pluie a mis le rayonnement vers le bas au-dessus de nous», explique Nobuyoshi Ito, un agriculteur dans le village de montagne de Iitate, à 40km de l'usine et un pittoresque demi-heure de route de Minamisoma.
Pour des raisons qui restent troubles, le gouvernement a retardé la publication des données qui ont montré le chemin du rayonnement et sauvé beaucoup de forte exposition. Des centaines de familles sans le savoir, évacuée dans les zones les plus irradiées. "C'était un crime, et les gens du gouvernement qui ont pris cette décision devrait aller en prison», dit Ito.
Il fait partie d'un tout petit nombre d'agriculteurs qui ont ignoré une directive du gouvernement d'évacuer de cette région. La directive a vidé les villes autrefois prospères autour de l'usine de 114.000 personnes, dont plus de 6.000 de Iitate. Un nombre inconnu supplémentaires - n'importe où entre 50.000 et 120.000, selon les observateurs - ont déplacé volontairement à cause des craintes de radiation, en ignorant les déclarations officielles que la vie à l'intérieur ou autour de Fukushima est sûr. Les mères ont pris leurs enfants et a commencé une nouvelle vie ailleurs, le fractionnement des familles, souvent dans les dents de pères qui protestaient et beaux-parents.

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25 février 2012 à 09:55  
Blogger huemaurice7 a dit...

"Mon mari n'était pas d'accord pour le déménagement et nous dit de rentrer à la maison," dit Akemi Sato, une femme au foyer à partir de la ville de Fukushima, à environ 60 km de la centrale nucléaire, qui vit maintenant à Tokyo avec ses deux enfants, âgés de neuf et sept ans . «Je dois payer mes factures à Tokyo et se rendre à Fukushima pour voir mon mari trois ou quatre fois par mois. Il est très coûteux et stressant, mais je n'ai pas vu un choix "d'indemnisation des victimes de la catastrophe nucléaire a dribblé. La plupart ont reçu moins de € 20.000. Sato, qui a déménagé volontairement, n'est pas actuellement droit à un sou, que le gouvernement insiste sur le fait que sa maison est sécuritaire.
Dans toute la région, les travailleurs en costumes de la chaudière et les masques sont descendus sur des dizaines de villes avec des tuyaux d'alimentation, en essayant de parcourir charge toxique de l'usine Daiichi des terrains de jeux, parcs et autres lieux publics. Les travailleurs ont retiré la plupart des contaminants les plus dangereux - césium - des motifs de Minamisoma Moyen High School, affirme son directeur, Shinichi Hamano. Comme d'autres bâtiments publics, ici, l'école a planté un grand dosimètre en dehors de ses portes avant, montrant le rayonnement dans les grandes lettres numériques, pour rassurer les parents locaux - avec un succès limité. Seulement la moitié de ses 360 élèves sont rentrés depuis l'an dernier, admet Hamano. «Je ne sais pas si nous pourrons jamais remettre à ce que nous étions avant le 11 Mars, mais nous sommes certainement améliorer,» dit-il, pointant vers l'extérieur dosimètre rouge clignotant, qui se lit 0,2 microsieverts.
En Mars dernier, le rayonnement était de 10 fois supérieur à celui, un niveau qui a dépassé les lignes directrices du gouvernement central d'un millisievert de radiations d'un an. En réponse, le gouvernement a augmenté la limite de 20 millisieverts, suscitant des protestations amères. Beaucoup d'enfants ont depuis signalé une faible immunité et autres problèmes de santé, mais personne n'a prouvé un lien vers la centrale nucléaire. Hamano a dit que ses élèves sont toujours limités à deux heures de jeu en dehors d'un jour et leur dit de rester sur la résidence principale des routes et d'éviter les points chauds. En Avril, il s'attend à ce que le rayonnement d'avoir diminué suffisamment pour permettre un nombre illimité en dehors de lecture. "Nous allons survivre à cet événement horrible, je crois."
A quelques kilomètres de l'école, la route nationale 6, qui passe juste par ses portes et le bas de la côte du Pacifique, frappe la zone d'exclusion de 20 km autour de l'usine paralysé. Les agents de police avec des dosimètres épinglés à leurs coffres empêcher les habitants d'entrer, même le maire de Sakurai, qui a une ferme juste de l'autre côté. Les journalistes et les citoyens qui s'aventurent à l'intérieur par des routes secondaires peuvent être arrêtés. A l'intérieur de la zone, la vie s'est figée dans le temps. Des maisons ont été abandonnés et remises par les mauvaises herbes. Des milliers d'animaux de ferme et les animaux domestiques ont été abandonnés à la mort. Les 80.000 personnes qui ont vécu ici n'ont pas été dit quand, si jamais, ils peuvent revenir.

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25 février 2012 à 09:57  
Blogger huemaurice7 a dit...

En dehors de la zone, le gouvernement est la décontamination des centaines de milliers d'hectares de terres agricoles et forestières en grattant un 5 cm de couche de terre arable, une opération qu'il estime laissera un tas de déchets nucléaires de près de 29 millions de mètres cubes - assez pour remplir 80 fois le plus grand stade de Tokyo.
À travers la campagne de Fukushima, camions gigogne pour «temporaire» des décharges avec leur cargaison d'argile empoisonnée passé port du masque des gardes de sécurité, un plan de Ito et autres insistent est vouée à l'échec. "Ils ne font que de déplacer le rayonnement d'un endroit à l'autre,» dit-il. "Qui va le prendre quand ils auront finis ? Fukushima restera empoisonnée pour les décennies à venir. "
Nettoyage et de compenser la catastrophe sera triple ajouter au fardeau de la dette du Japon déjà gémir. Bien que son économie puissante montre des signes de vie après, on pouvait s'y attendre, sous-traitance l'année dernière, la nation est confrontée à de profonds problèmes à long terme structurelles, notamment une crise démographique imminente.
Le mois dernier, le ministère de la Santé prévoit que la population de 128 millions d'habitants sera de chuter de 30 pour cent au cours du prochain demi-siècle, alors que la flambée de l'espérance de vie est davantage le fardeau de l'État. La population diminue et vieillit signifie que le gouvernement aura du mal à faire face à un ballonnement bien-être social des coûts et les conséquences du 11 Mars, tout en essayant de rembourser la dette publique du Japon - à € 9000000000000 pire dans le monde industrialisé.
Le maire Sakurai et d'autres observateurs craignent que le gouvernement central peut-être reculé dans les changements les plus radicaux nécessaires pour guider le pays à travers ce que son ancien Premier ministre Naoto Kan a appelé la pire crise du Japon depuis la seconde guerre mondiale. Successeur de Kan, Yoshihiko Noda, a signalé des affaires comme d'habitude pour l'énergie nucléaire et rien d'autre dans la voie de nouvelles initiatives, sauf pour une randonnée dans les impôts à payer pour la récupération.
"Je pense que nous pouvons récupérer, mais nous avons besoin de leadership, et je vois peu de ça», dit Sakurai. Pourtant, il est optimiste que la bonne volonté viennent de la tragédie qui a éclaté avec une soudaineté terrible comme par en dessous dans le Pacifique il y a un an. Il veut faire de sa ville en un centre mondial pour les énergies renouvelables et estime que la crise va galvaniser une nation qui a semblé à la dérive depuis deux décennies.
Des milliers de jeunes se sont portés volontaires pour travailler dans Tohoku, les agriculteurs font des expériences avec les cultures, les enfants des écoles ont commencé à réfléchir à de nouvelles approches aux problèmes du pays. "Ce sont les énergies que nous avons à tirer parti,» dit-il. «C'est notre avenir."

http://www.irishtimes.com/newspaper/weekend/2012/0225/1224312357953.html

25 février 2012 à 09:58  
Blogger huemaurice7 a dit...

Malgré le drame de Fukushima, cinq pays se lancent dans le nucléaire

MONDE | Mis à jour le samedi 25 février 2012 à 9h27

Cinq pays vont se lancer dans l'aventure nucléaire en 2012.
Cinq pays vont commencer cette année à construire leurs premières centrales nucléaires malgré la catastrophe de Fukushima, a indiqué vendredi un haut responsable de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).
"Nous nous attendons à ce que cette année le Vietnam, le Bangladesh, les Emirats arabes unis, la Turquie et le Belarus commencent à construire leurs premières centrales nucléaires", a déclaré Kwaku Aning, directeur adjoint de l'AIEA lors d'une conférence à New York.
La Jordanie et l'Arabie saoudite pourraient suivre leur exemple en 2013, a-t-il ajouté.
Une soixantaine de pays ont pris contact avec l'AIEA depuis un an pour lui faire part de leur intention de se lancer dans un programme nucléaire, a précisé Geoffrey Shaw, directeur du bureau de l'AIEA aux Nations unies lors de la même réunion.
Selon M. Aning, tous les pays qui envisagent de se doter de centrales nucléaires ont interrogé très précisément l'agence sur la sécurité, après l'accident survenu à la centrale japonaise de Fukushima en mars 2011.
Ces pays "tirent tous des leçons de ce qui s'est passé à Fukushima", a-t-il assuré. "Les pays en développement sont très conscients du fait que si la sécurité n'est pas assurée, personne ne voudra leur fournir la technologie. Mais certains pays n'ont pas d'autre choix", a-t-il encore dit, comme la Jordanie qui n'a pas de ressources pétrolière ni gazière.

http://www.rtbf.be/info/monde/detail_malgre-le-drame-de-fukushima-cinq-pays-se-lancent-dans-le-nucleaire?id=7629403

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"Malgré les milliers de morts sur les routes, les belges vont encore acheter des voitures" !!!!

Des milliers d'automobilistes vont se lancer dans l'aventure de la conduite sur routes dès 2012. Malgré les vidéos belges montrant les drames qui se jouent à chaque virage à chaque croisement, il y a encore des inconscients qui vont sortir de chez eux pour aller quelque part !

Mais que fait le roi des belges ??!

25 février 2012 à 10:47  
Blogger huemaurice7 a dit...

BBC Doc: Des radiations "des dizaines de fois pire" que Tchernobyl seront dispersées, si tout se fond vers le bas - "Fallout pourrait avoir affecté le monde entier" - Impact reste à voir

(VIDEO)

Titre: Fukushima aurait pu être «des dizaines de fois" pire que Tchernobyl
Source: TBIJ
Auteur: Emma Slater
Date: Feb 24, 2012

»Dans la salle de contrôle, les gens disaient qu'on avait fini. Ils le disant à voix basse, mais ils ont été de le dire. Nous avons dû fuir. Ce fut la fin. "
La nuit dernière, c'est ce monde: l'intérieur de la Meltdown sur la BBC 2 a été l'histoire des effondrements Fukushima
[...] Qui aurait pu rendre certaines régions du Japon "inhabitables pendant des siècles."

[...] Il est devenu clair que [...] les retombées pourraient avoir affecté le monde entier, pas seulement au Japon. [...]
«Si ils se sont retirés, les six réacteurs et sept piscines de combustible seront abandonnés", [Ancien Premier ministre du Japon Naoto] Kan a dit le programme. «Tout se fond vers le bas. Des dizaines de rayonnement de pires moments que Tchernobyl seront dispersés.
TEPCO interdire à ses employés de parler à la presse. Cependant, quelques-uns ont rompu les rangs de parler de leurs craintes. «Beaucoup d'entre nous rêvaient de s'enfuir, mais il n'y avait pas d'échappatoire. Si vous avez réellement couru que vous seriez exposé à un rayonnement.
[...] Il reste à voir si le rayonnement expulsé aura une incidence sur le Japon dans les années à venir. [...]

http://enenews.com/bbc-doc-radiation-tens-of-times-worse-than-chernobyl-will-be-scattered-if-everything-melts-down-fallout-could-have-affected-the-whole-world-impact-remains-to-be-seen-video

25 février 2012 à 11:29  
Blogger huemaurice7 a dit...

AFP: 470 millisieverts par an détectés près de Fukushima - Certaines zones seront probablement hors-limites pour toujours

Maisons près du Japon nuke plante peut être interdites à jamais

le Japon a déclaré vendredi que certaines zones environnantes de l'usine nucléaire de Fukushima [...] resteront probablement définitivement hors-limites.
Les mesures prises entre Novembre et Janvier confirment les résultats antérieurs qui montrent un niveau de radioactivité de 470 millisierverts par an alors que la moyenne, dans des conditions normales, est inférieure à une fois par an, selon un rapport du gouvernement publié vendredi. [...]

http://enenews.com/afp-5-sievertsyr-detected-town-fukushima-areas-around-plant-will-be-banned

25 février 2012 à 11:30  

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